Donatien Alphonse François dit le marquis de Sade c’est fait
connaître pour sa sexualité sans limites et cruelle.
C’était un homme politique révolutionnaire et surtout écrit
érotiques mettant l’accent sur la violence faite contre les femmes et les enfants.
Il a passé plus de 30 ans de sa vie entre prison, couvents,
et asiles de fous.
Ses œuvres pour les principales ont été écrites en prison.
Le marquis de Sade continue à fasciné encore maintenant.
Il fut connu par un premier scandale envers une femme veuve et mendiante du nom de Rose
Keller.
Sous prétexte de l’engager comme gouvernante, il lui fait visiter sa demeure et
l’enferme dans la chambre gouvernementale avant de l’attacher au lit, la flagellant
avec un fouet, lui trouant la peau avec un canif avant de recouvrir les plaies
de cire brûlante en la menaçant de la tuer si elle continuait à hurler. La
veuve réussit à s’enfuir par la fenêtre pendant que le Marquis retournait vers
les autres prostituées.
Elle déposera plainte mais Sade fut soustrait à la
justice contre 2400 livres pour la plaignante et la prise en charge de ses
soins.
A 30 ans, Sade n’a presque plus rien de la dote de son femme
et maintenir son château de 42 chambres coute cher. Il décide de se lancer dans
le théâtre et organise de grandes fêtes ou il convie la noblesse.
C’est un
succès, il brille par son élégance et sa séduction ne laisse personne indifférent.
Mais sa relation avec Madame de Montreuil est en train de le
conduire à sa perte et a nouveau l’argent fait défaut.
Nouveau scandale sexuel à Marseille sur non plus sur une
personne, mais sur 5. Il leur aurait fait boire un aphrodisiaque à base de cantharidine
A cette époque les aphrodisiaques étaient considéré au même titre que les
poisons. Et avec les effets secondaires de la cantharidine, vomissements, maux
de ventre inflammation de l’urètre.
Cette fois, la condamnation est la peine de mort pour empoisonnement et sodomie
à l'encontre du marquis et de son valet.
Il s’enfuit en Italie. il devient l’amant de sa jeune belle sœur,
Anne-Prospère de Launay qui lui signe de son sang une lettre
passionnée stipulant : Je jure à M. le marquis de Sade, mon amant, de
n'être jamais qu'à lui.
Les sévices et ses fantasmes, il les a transmis à travers
ses écrits comme le célèbre, Les Cent vingt Journées de Sodome, et sa « série »
Justine : les infortunes de la vertu en 1797, ou il ajoute des chapitres comme
La Nouvelle Justine ou les malheurs de la vertu, suivie de l’Histoire de
Juliette, sa sœur, donnant la plus grande production de librairie de
pornographie (clandestine du monde)
A travers ses nouvelles, ses livres le marquis de Sade nous
livre un véritable catalogue des sévices ou s’emmêlent blasphème, sodomie,
douleur, souffrance et sang.
L'autopunition pour les premiers moines chrétiens et les
ascètes devient un moyen d'excitation sexuelle.
L'augmentation de la souffrance
produit l'extase et l’église mettait son véto pour éviter que les pratiques d’expiation
mènent à la satisfaction sexuelle.