En Suisse, dans le Valais les
cantons de Vaud, de Genève et Neuchâtel, les pratiques du BDSM se diversifient.
Que ce soit en couple pour
faire de nouvelle découverte, avec des amies, ou des prostituées, l’envie de
connaître ses limites sexuelles se fait de plus en plus sentir.
Beaucoup d’hommes attiré par
l’envie de se soumettre aux caprices sexuelles d’une femme, se choisissent une
des nombreux maîtresses du bassin lémanique genevois ou vaudois, dans le
domaine.
La recherche d’une maîtresse
se fait souvent par petites annonces dans les nombreux sites d’annuaire
spécialisés dans les escortes girls et femmes prostituées ou encore dans des
sites de rencontres comme Tinder.
Après c’est aux envies de chacun.
Certains préfèreront une femme mature avec des gros seins tombant, d’autre une
pute jeune à la chatte épilées ou rasée. Après les prestations se pratiques à domicile, dans le salon de massage de la masseuse érotique, dans un donjon avec un équipement spécial de cage, de croix et de tout le matériel de torture.
Les différents fétichismes entre
beaucoup en matière. Là ou certain voudront se faire dominer ou dresser comme esclaves
d’autres voudront une femme sexy déguisée en maîtresses d’école, ou encore en
combinaison de latex intégrale si ce n’est pas du cuire.
La fessée est très prisée comme
punition, fessée à la main ou avec divers accessoires comme tapettes à tapis.
Les putes bien cochonnes et
pratiquantes de l’esclave sont des
professionnelles dans le domaine de l’éducation et on suivit des cours à l’étranger
pour éviter tout risque de blessures. Les tétons sont très sollicités aussi, avec des pinces tétons ou de l'enfermement du pénis dans une geôle pour empêcher son érection.
Mais le BDSM n’est pas qu’une
question de sexe, c’est aussi la preuve d’une confiance en l’autre.
De nombreux club existent en
suisse romande comme en suisse alémanique.
Depuis la sortie des livres " 50
nuances de Grey " (https://www.amazon.fr/50-nuances-de-grey/s?k=50+nuances+de+grey)
l’envie de pratique sado-maso se généralise jusque dans nos contrées.
Elle nous dis : Avec mon copain, nous avons lu ensemble la trilogie et au fur et mesure notre désir de découverte augmentait. Dans un premier temps, nous sommes allez faire un tour dans les différents club échangistes de Lausanne et d’Yverdon, nous étions déjà très libre dans le voyeurisme et nous aimons baiser un peu partout en extérieur. Pour notre couple, cela à augmenter la confiance que nous avions en nous, car c’est un vrai lâché prise qu’il faut être capable de faire.
Mais ce genre de films irritent
les « véritables » pratiquant du SM.
Pierre c’est confié au
journal le matin (https://www.lematin.ch/societe/vrai-donjon-sm-c/story/24835887)
Sur ce qu’était sa vision d’un véritable donjon de sado-masochisme.
Citation :
"le livre n’est pas en rapport avec ce que je pratique comme SM.
C’est juste une entrée, si vous n’allez pas au-delà, vous allez vite vous ennuyer."
Chacun est libre de vivre ses propres fantasmes et de relevé les défis les plus improbables dans sa vie sexuelle.
Chaque année, il y a des
dérives, des soumis tuer par leur maître ou maîtresses, souvent amateurs, qui n’ont
pas réellement les bases pour pratiquer la torture à ce niveau.
Des dangers peuvent aussi se
cacher dans diverses annonces :
En 2014, un quadragénaire se faisant passer pour une personne aisée aurait
forcé une allemande de 42 ans à des relations sexuelles et l’aurait ruée de
coups contre son consentement.
Voir l’article du 20minutes (https://www.20min.ch/fr/story/soupcon-de-viol-dans-le-chateau-d-un-sadomaso-526552059573)
Un pasteur vaudois est également
passé devant la justice pour avoir entretenu une relation sado-maso avec un
jeune de 15 ans à Boudry
Infos RTS (https://www.rts.ch/info/suisse/10809187-un-pasteur-a-ete-condamne-pour-une-relation-sadomasochiste-avec-un-jeune.html)
Les cas restent quand même
rare, il s’agit d’avertissements de faire attention à vous, pas de vous
effrayer. La confiance et le consentement sont la part la plus importante des
pratiques BDSM